Virginie Broquet a le trait ivre et la couleur généreuse. Elle le prouve une nouvelle fois avec sa dernière production librement inspirée du roman de Richard Mason, Le monde de Suzie Wong. Son héroïne est donc plantureuse, sexy, indépendante. On prend plaisir à la suivre dans une sorte de road movie asiatique, où s'entrecroisent esprits lady boys et ladys tout court.
Stéphane Brasca
LE MAGAZINE QUI DONNE À VOIR
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